Amira Bouraoui, a été condamnée par un tribunal algérien à un an de prison ferme, pour des messages postés sur Facebook

En Algérie, une peine de prison d’un an ferme, vient d’être prononcée à l’encontre d’ Amira Bouraoui, cette médecin-gynécologue de 44 ans, que l’on surnomme « l’accoucheuse de la démocratie algérienne ».  Cette militante algérienne, maman de deux enfants, a été reconnue coupable de six chefs d’accusation dont « offense à l’islam », « offense » au président de la République et « incitation à violer le confinement » en « exposant directement la vie d’autrui ou son intégrité physique à un danger » pendant la crise sanitaire.



%d blogueurs aiment cette page :