Iréné souhaite sensibiliser et éveiller les consciences autour de la précarité menstruelle : «  Je tâche. Le sang coule et le sexisme tâche… »

Iréné a 20 ans et elle a décidé de faire couler son sang dans Paris. C’est en portant un legging gris que la jeune fille s’est rendue à l’Université, pour y suivre ses cours, sans protection pendant ses règles. Pourquoi ? Car toutes les femmes ne peuvent pas toujours acheter des protection périodiques. Avec Irèné, la révolution se conjugue au féminin : « Nous sommes vendredi 1er février 2019. Je m’appelle Irene, j’ai 20 ans et aujourd’hui je vais laisser mon sang couler dans Paris. Car si l’État refuse de payer pour nos protections périodiques, je le refuse aussi. » Elle exige le remboursement des produits hygiéniques féminins.



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