Le député Jean-Philippe Nilor est le Harvey Weinstein de Martinique ?

Depuis début octobre 2017, les femmes de #Martinique ont la possibilité de libérer la parole afin de dénoncer les hommes qui abusent d’elles depuis toujours dans une tradition quasi ancestrale.
Aussi dans cette île empreinte de secrets, le # #balancetonporc n’a pas eu l’impact souhaitable.
Alors les porcs notamment politiques n’ont pas eu le Noël promis. Et c’est cela l’insupportable. Le député de la circonscription du sud, Jean-Philippe « Weinstein » #Nilor avait suite à sa récente réélection promis qu’il allait déposer une plainte pour diffamation contre le blog privé Bondamanjak qui avait révélé l’an dernier ses pratiques sexuelles avec une collaboratrice parlementaire notamment dans un ascenseur del’Assemblée Nationale française.
Depuis juin 2017…pas l’ombre d’une plainte. Alors le Harvey Weinstein des îles aura l’occasion ce jour de contacter ses amis avocats car nous allons aujourd’hui balancer le porc pervers narcissique qu’il est.
L’agression sexuelle que nous allons décrire se déroule dans une commune du sud de la Martinique. Rivière-Pilote, plage de l’Anse Figuier. Le député a invité une jeune étudiante à prendre un verre dans un restaurant du coin, Le paradis de l’anse.
Jusque là rien d’anormal. L’ambiance est conviviale et festive.
L’élu sait parler aux femmes et surtout prouver qu’il aime son île et a le souci de son devenir, de son andidantité.
La jeune femme est symboliquement accrochée aux lèvres de celui qui parle bien et aime complexifier son verbe pour faire monter en neige une intelligence mayonnaise.
Il lui fait miroiter des opportunités. Il a le pouvoir. Il peut meubler son avenir professionnnel.
Au bout d’un discours sur mesure, l’élu prétexte un petit coup de fatigue et propose à sa future proie de l’accompagner dans un bungalow, non loin de là dont il a la jouissance.
Il veut juste se reposer avant de la raccompagner. La confiance règne.
Nilor ponctue l’avancée de son plan, de mots rassurants qui la rassure.
Cet homme est un élu. Un idéologue, un indépendantiste, il a de l’éthique. Elle n’a aucune raison de douter de son intégrité.
Le bungalow avec ses draps à 2 € révélera très vite son statut de lupanar.
Nilor « fatigué » s’étale sur le lit mais envisage de lui faire boire le calice jusqu’à la lie. Il devient brusquement terriblement entreprenant. On passe de l’andidantité à l’andidantété. Très entreprenant. Il ne sait plus à quel saint se vouer. La jeune femme ne peut plus douter.
Ça sent le malentendu. Mais qu’est-ce qu’elle fait dans un bungalow avec un élu ? Pas n’importe lequel…Nilor…le romantique qui ne va qu’au coeur.
Oh mon Dieu…oh my God…oh Djee Zeus..oh ma Diana jou a ka ouvè ladjé mwen.Elle vit un cauchemar. Un enfer car Satan l’habite. Il est comme un fauve en rut. Il veut le lambi. Dans cette scène d’horreur horrible et politiquement incorrect, le député du sud perd le nord. Il a le vit dur et lui mène la vie dure.
Dans le feu des assauts répétés, elle n’a plus sa culotte. Elle cède du terrain mais elle résiste, elle refuse de céder. Les larmes se bousculent sur son visage. Non. Elle ne cédera pas.
Ça se complique pour celui qui ne sera jamais maire de Sainte-Luce. Pire le charme est rompu. C’est mort. Il est enragé. Lolo’y ké rété an lanmen’y. Ou bandé ou pa jwi. Il n’apprécie pas cet échec. Fou de rage il ramasse la culotte de celle qui s’est refusée à lui et lui balance le sous-vêtement au visage. Mépris.
Le reste est encore plus pénible. Plus à vomir car c’est le reflet d’une société martiniquaise construit sur la violence du sperme non consenti et du viol. Après cette agression traumatisante, elle va se confier à des avocats de la place. Aucun d’eux, comme par hasard, proches du porc ne va s’occuper de son cas. Elle est une rien.Rien de plus. Nilor est  » À part cet ÉCART, un bon député pour la Martinique ». Voilà. Merci à Sandra Muller. Merci pour ce …#.



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