Franck Sorbier, un défilé sous le signe de l’élégance et de la poésie

Poète rêveur mais néanmoins exigeant, Frank Sorbier occupe une place particulière dans le monde de la mode. Haute Couture et savoir faire sont ces domaines qu’il maîtrise comme un couturier technicien et expert à la fois, à l’image des maîtres d’art avec lesquels il aime composer.

A Paris, l’atelier de Frank Sorbier est un exemple du savoir faire artisanal, empreint d’humilité et de rigueur. La couture pour lui, est une culture à part entière. Son défilé, mis en musique par Manu Dibongo, aux sonorités jazz, « Cotton club », a permis aux modèles d’évoluer en dansant au rythme du saxophone du célèbre musicien accompagné de musiciens. Soies, mousselines, robes transparentes, légères et fleuries, virevoltaient d’un salon à l’autre. Les mannequins portaient des coiffures hautes, tressées et évoluaient dans un dédale, guidées par le son entraînant du musicien.



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